Bon, à première vue cela n’est pas très authentique… Et pourtant, le Kinder indien réserve bien des surprises!

Résultats du test :

• Authenticité : pas très indien d’origine, mais quand même fabriqué en Inde.
• Présentation : de l’extérieur cela ressemble à notre Kinder Surprise en forme d'œuf, mais avec un emballage plastique et une languette mystérieuse… A l’intérieur, il y a en fait deux parties : l’une avec le chocolat et l’autre avec la surprise (et une sorte de cuillère en plastique, ce qui nous met la puce à l’oreille : ne serait-ce donc pas vraiment un œuf en chocolat?)
• Goût : dans la partie qui se mange, nous trouvons deux petites boules qui évoquent les Ferrero Rocher. Elles sont installées sur un lit de chocolat blanc. Même si cela ne ressemble pas du tout à nos Kinder Surprise habituels, le goût est dans la lignée des produits de la marque.

Verdict : je ne suis pas trop chocolat blanc, donc comme pour tous les Kinder Surprise, Mathias a fini par manger le chocolat et moi j’ai récupéré le cadeau!

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En plein centre-ville de Pondichéry se trouve un petit temple appelé temple de Sri Manakula Vinayagar, dédidé à Ganesh. Devant le temple, un éléphant bénit les fidèles et les passants, en échange soit d’une petite botte d’herbe, soit d’une banane, soit d’une pièce de monnaie. Lorsqu’on lui donne une pièce, l'éléphant la garde dans sa trompe jusqu'à ce qu’il en ait plusieurs. Le spectacle est fascinant, parce qu’il n’arrête pas une minute et ne fait jamais d’erreur sur la personne à bénir malgré la foule…

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Comme nous restons quelques jours à Pondichéry, nous avons le temps de profiter un peu plus de nos soirées… Durant notre séjour, l’Alliance française organise un festival de musique en partenariat avec la Région Centre. Il y a des concerts tous les soirs, et les styles sont très variés, de la chanson française à la musique électronique. Nous passons aussi de bons moments avec le groupe de Français que nous avons rencontrés à Madurai.

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Tout près de Pondichéry se trouve Auroville, une communauté expérimentale créée en 1968 par une Française surnommée « la Mère », compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo. Au centre de cette ville est construit le Matrimandir, un lieu futuriste en forme de sphère destiné à la méditation. A l’intérieur se trouve une grande boule de cristal sur laquelle les rayons du soleil sont orientés en permanence grâce à un système électronique. En tant que visiteurs extérieurs, nous pouvons seulement accéder à un centre d’informations et à un point de vue sur les jardins du Matrimandir. Tout cela donne envie d’en savoir plus, mais il faudrait rester sur place plusieurs jours pour pouvoir rencontrer les membres de la communauté.

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La France n’est pas présente que dans les monuments de la promenade en bord de mer. Même si Pondichéry reste une ville très indienne, on y retrouve partout les traces de son passé de comptoir français créé au XVIIIe siècle. Les commerces jouent de cette image en utilisant des mots français dans leurs noms, et on trouve de nombreux « cafés » servant des croissants pour le petit-déjeuner.

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Le lieu le plus fréquenté de la ville est cette promenade qui longe la mer. Plusieurs monuments la ponctuent, dont la plupart rappellent le lien de Pondichéry avec la France : le consulat, le monument aux morts, une statue de Jeanne d’Arc, une statue de Dupleix et enfin l’Alliance française et son café nommé « Café de Flore ».

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Nous nous posons à Pondichéry pour quelques jours. Le centre, surnommé « la ville blanche » est assez calme, ce qui est très agréable pour se balader.

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